« Quand tous les canards indépendants auront été virés du circuit, quand les kiosques auront été remplacés par des boutiques Relay exclusivement dédiées aux programmes télé, aux DVD sous blister, aux cours de la Bourse, au péril islamique, aux régimes minceur et aux éditos de Christophe Barbier, sûr que la presse française aura fait un grand pas vers la "sortie de crise" ».
Ce texte est un extrait de l'appel à l'aide lancé par CQFD, un des seuls journaux libres de notre belle « démocratie » et un des derniers encore debout. Sauf qu'il va tomber d'ici quelques semaines si on ne fait rien.
« Pour nous renflouer à un niveau opérationnel, il nous faut réunir cent mille euros (oui, 100 000 euros). Pour relancer la machine, repartir à l’abordage et éditer de nouveaux livres. C’est jouable avec seulement quelques milliers de chèques de cinq, dix, vingt euros...»
Pour ma part, je vais me fendre d'un nouvel abonnement et sans doute ajouter un chèque de soutien. Si on se bougeait tous le tchul et le porte-monnaie, juste un peu ?
Détails pratiques et édito complet de CQFD ici.
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