Quelle gongon ! Quelle pignasse ! C’est pas pour elle qu’on risque d’empiéter le bouquet ! Foi de femelier, je ne vais pas demeurer enheudé ! Un bon pâté de Bécherel entre deux galettes, une bolée de cidre – attention, sans me gueuder de pois, c’est qu’y tosse ! - pi c’est bien le diable si un furieux comme moi trouve pas sa rutasse au Tabord (ou bien au Bois-Labbé, taupin vaut bien morette).
Rennais, Rennaises, et vous aussi, les étrangers, jetez donc un oeil à cet ouvrage : Mémoires de la société des antiquaires de France, qui – je cite mon homonyme et néanmoins ami Philippe - devient très intéressant à partir de la page 235, puisqu’on y parle des mots en usage à Rennes. Lisez et vous déchiffrerez ma petite prose d'intro, censée être du rennais pur jus. C'est ici, les « Mémoires sur les langues, dialectes et patois tant de la France que des autres pays ».
PS : puisque vous voilà partis, et si vous aimez les histoires, allez donc renifler un coup celles de Philippe le susnommé. Moi, vraiment, j’aime. C’est ici.
1 commentaire:
Oui mon Gar, à Rennes, un bon tailleur a plusieurs verges ; la trique, on l'a met dans le feu ; la pipe n'est pas non plus ce que le "non-Rennais" pourrait croire. Bon, ben je fouine...
Merci pour la reclame !
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