dimanche 6 avril 2008

Publicité mensongère

Ce bleu, ce bleu... faut l'dire vite ! Les Pouettes se sont produites à Liffré sous la pluie, la grêle et la neige ! Un 6 avril !
M'enfin ce fut bien sympa quand même tant les motards du Moto club de Liffré ont dans le coeur le soleil qu'ils n'avaient pas dehors en ce bon dieu de dimanche glacial (pi moi, ça m'aura permis de revoir Thierry, le patron du Tipi, un motard rock au grand coeur comme dans la bédé de Coyote).
Pour leur dernier concert (un bien grand mot pour 20 minutes à plein jus) les Pouettes on bien failli ne pas jouer puisque... l'électricité, comme le printemps, s'était elle aussi fait la malle. Au passage, salut aux Bonobos, groupe encore moins chanceux que les Pouettes, qui n'ont pu jouer que 10 minutes.
Hein quoi ? Qu'est-ce que j'ai dit ? Leur dernier concert, oué oué. Ah ben oui parce que les Pouettes ont trouvé un nouveau nom, un truc ach'ment sympa, jeune et tout, m'enfin tout ça sera rendu public prochainement et devant huissier, alors on patiente gentiment pi on regarde les diapos en silence.

Les Pouettes sous la pluie avec le moto-club de Liffré

5 commentaires:

Anonyme a dit…

Je ne sais pas comment je suis arrivé sur ce blog mais je crois bien que nous n'avons non étudié ensemble dans un petit village du Morbihan.
Et je comprends donc que tu as persévéré dans la musique.Tu as bien fait.
Signé :
Didier du Mans

Fil Ze Loom a dit…

Didier B. ? Cheveux longs frisés ? Le petit village, c'était Vannes ? (purée les Vannetais seraient vexés...)

La Taupe Qui Beuche a dit…

Vous avez non étudié ? Autrement dit vous avez glandouillé sévère. Ben voila à quoi ça mène, faire le kéké sous la flotte dans un poid lourd.
Si seulement t'avais bossé (comme tu l'avais promis à tes parents...), aujourd'hui, ce serait le stade de France.
Bon, j'avoue, j'aurai bien voulu me joindre aux spectateurs, la prochaine fois j'espère.
Domi

Fil Ze Loom a dit…

Wah l'aut' hé !
Quand on voit c'qui traîne au Stade de France - sportifs ou chanteurs milliardaires et égoïstes - on passe son ch'min, c'est ma qui te l'dis !
Pi t'façon, on glandouillait pas, on adoptait un point de vue légèrement décalé sur les études.
Aloooors !

Anonyme a dit…

J'ai rien contre Vannes mais faut avouer que le tour était vite fait en 203.
Pour les études elles nous couraient toujours après et c'est fini maintenant elles ne nous poursuivent plus. On a réussi à s'échapper.
Bref j'ai plus les cheveux longs, mais ça frise toujours.